Et si aujourd’hui on n’avait pas grande chose à vous dire sur cette recette ?
C’est étrange, nous qui habituellement avons toujours des tonnes d’anecdotes à raconter, aujourd’hui rien, nada, que dalle pour vous donner envie de préparer cette tartine, qui pourtant est un vrai délice et d’une simplicité déconcertante.
En fait, le poulet cuit à basse température avec un mélange de sauces soja claire et sombre apporte un goût presque rôti à la tartine, de quoi réveiller nos instincts de chasseur cueilleur les plus profonds.
Les feuilles de salade batavia et d’épinard apportent de la verdure et du frais à la composition, quant à la cancoillotte, son petit goût d’ail et de lait, qui colle au palais et passe tout en finesse avec l’ensemble des saveurs de la tartine, est accompagné dans cette note aillée par la ciboule fraichement coupée.
Que dire des pickles de champignons à l’échalote ? Ils vont très bien avec cette tartine, d’ailleurs nous avons déjà trouvé d’autres applications pour eux dans un avenir très proche.
Le confit d’oignons viens apporter une note sucrée et lourde à cette tartine qui résonne avec le poulet pseudo-rôti, de quoi nous rendre accro.
Le pain lui même, un pain au chanvre aux saveurs lourdes et puissantes, soutient cette palette de sensations franches.
Et pour sublimer l’ensemble, un peu de poivre de Bélèm blanc concassé avec ses forts arômes de menthe poivrée, d’anis et de végétaux fermentés qui font ressortir tout le caractère du poulet (autant vous dire qu’il a intérêt à être bon, ce poulet).
Finalement nous avons réussi à finaliser cette intro, ouf !
Et vous les tartines vous les aimez comment ?
Salut 61 Degrés,